Quels sont les mécanismes d’une addiction, et en sommes-nous toujours conscients ?
Dans chaque histoire de vie, des difficultés peuvent pousser à rencontrer soit un produit ou un comportement qui deviennent répétitif. La personne devient dépendante, pour des raisons qui lui sont propres… Cela peut être pour se rassurer, se consoler, pour la convivialité et l’acceptation dans un groupe, pour supporter une douleur, ou combler « un vide ».
C’est-à-dire que ce nouveau mode de fonctionnement, parfois pour s’adapter maladroitement à un monde complexe, pourtant sur le long terme cette « solution » n’en est pas une. C’est un faux ami, un fardeau, qui engendre de plus grandes difficultés. Pour autant, elle est souvent associée à un déni et à une forte ambivalence qui rend l’arrêt compliqué ; et ce malgré les connaissances sur les méfaits de ces addictions.
Rappelons tout de même que le tabac est la première cause de décès évitable, en faisant 200 morts par jour, et par exemple, l’alcool cause 134 décès par jour, en France ; et autant de familles en deuil… Nous sommes tous concernés par ces difficultés et ces problématiques, quelque part…
Avec ces mécanismes de défenses qui freinent l’envie « d’entamer » le sevrage, comment réussir à suivre le « déclic », et comment finalement se sortir de l’addiction ?
Le fatalisme ambiant, les fausses croyances en nos incapacités, une sorte de dépression cachée peut nous limiter et nous faire croire que privilégier la relation au produit, plutôt que de favoriser sa propre santé (pas forcément de façon consciente) serait un bon choix… Déni, ambivalence ou clivage… pour protéger nos peurs face à l’inconnu… en dehors de nos habitudes, d’une « zone de confort » empoisonnée est assez fréquent.
C’est donc un processus très personnel, dans l’évolution de chacun et des stades d’acceptation au changement qu’on s’autorise à traverser.
Arrêter de fumer, de boire…d’abuser du sucre… pas facile ; alors comment s’en défaire ? Est-ce facile à mettre en œuvre, est-ce évident d’arrêter ?
Comme, c’est comme une sorte de « nœud » qui s’est formé, et qui nous ralenti à cause de l’énergie qu’on a perdu, à s’être laissé emmêler et qu’on s’y perd un peu soi-même encore en laissant ce comportement persister… malgré soi… : c’est souvent très douloureux ! C’est ce qu’on appelle « l’ambivalence ».
Si on se culpabilise, mais qu’on reste dans une sorte de déni : c’est le clivage : alors le problème peut s’amplifier parce qu’on est comme dans un « cercle vicieux ». Ce n’est pas anodin : un accompagnement reste précieux. Parler à un thérapeute spécialisé dans ce domaine, se sentir soutenu et profiter de solutions efficaces et naturelles, comme celles proposées par Christelle, permettent de réussir et de le faire en douceur.
Une personne qui hésiterait, par l’enjeu et le risque d’être en déséquilibre, dans un monde de plus en plus stressant, compliqué ou et difficile ; je propose de l’aider afin d’atteindre un degré de savoirs propres à bien construire sa vie, je vous incite à diversifier vos “outils de connaissance”, comme le raisonnement, la logique, les sensations physiques, les émotions, les sentiments, ou l’intuition.
Je vous encourage à prendre conscience de la multiplicité de vos talents.
Comme en fait allusion le logo de liber’action, avec le symbole de la pieuvre ou de l’octopus, vous devez croire en vous, ensemble, en faisant équipe, nous pourrons avec lucidité, évoquer tous les points de vue nécessaires et possibles sur une situation, et choisir la ou les bonnes solutions, vous concernant.
Votre volonté sera notre base de travail, et la confiance que vous me confierai fera moteur de votre réussite et de votre futur bien-être, à long terme, libéré du fardeau de la dépendance, en gagnant en motivation.
